The Road to Hope and Glory – A MAD MAX fan film
The Road to Hope and Glory – A MAD MAX fan film

The Road to Hope and Glory – A MAD MAX fan film

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L’auteur a fourni une vidéo de 00:44:50 secondes avec le titre MAKING OF « 275 cinéastes et un objectif: leur propre aventure Mad Max. Cette marque de documentaire pour le premier anniversaire de l’espoir et de la gloire-un film de fans Mad Max raconte l’histoire improbable d’un groupe de cinéastes qui ont réalisé leur rêve. Avertissement: Ce documentaire jette un coup d’œil dans les coulisses d’un film de fan. Aucun profit n’est réalisé avec ce film. La publication de Hope and Glory est destinée à un merci cinématographique « en l’honneur de ce que Bryron Kennedy, Doug Mitchell et George Miller ont créé. Étant donné que nous étions très impatients de Furios, nous voulions raccourcir le temps d’attente avec notre hommage et notre retour à Wasteland. Aime et nous sous-aborder au film pour être informés du dernier projet. Nous merci: Sound: Sound: Sound: Sound: https://youtu.be/cc0w9mm_anc?si=uqlaj-8llkhew_y vfx -breakdown: https://youtu.be/94qg6iyr jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjgisisis Finding https://youtu.be/ggca_8rm1co? Schmidt produit par Eyewall Productions en coopération avec Brightstone Pictures Caméra principale David Raumera Allstedt Willi Hessel Camera Espagne Finn-Oliver Walter Tonmung Volker Armbruster Images supplémentaires de Lasse Van Schoor, Fabian Martin, Ahmenes Khelifi, Jana Erger, aaron Jordan, Ahmed Khelilif Schoor, Daniel Köhler, Lindsay Dodoras Dronen Seepings by David Rau FPV Drone Yasin Conte Berlin Premiere camera Leo Ackel interviews Jasmin Domochali, David Rau Kamera Leon Kolinger Light Finn-Oliver Walter Photographs by David Rau, Finn-Oliver Walter, Manuel Scholz, Steffen Bernert, Fabian Martin, Johannes Pfau, Adrian Martin, Saro Sahihi, Vanessa Delalle, Robin Merz #Madmax #fanFilm #HEANDGLORY #MADMAXFANFILM # V8 #MakingOf ».

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Production de Vidéo Aérienne : L’Art du Drone

?Matériel et technologies employés

Les drones professionnels recommandés

Les modèles FPV, ainsi que le DJI Mavic 3 et l’Inspire 3, sont appréciés pour leur performance et leur capacité à s’adapter à divers types de tournages. En tenant compte des besoins du projet, chaque drone est sélectionné pour assurer une qualité d’image optimale.

La valeur des accessoires complémentaires

On peut compter sur les caméras et capteurs professionnels pour une netteté parfaite. Grâce à des microphones spécialisés, la qualité audio est significativement améliorée. En post-production, un montage précis et fluide est facilité par des outils de pointe.

Étapes de création et de finalisation

Les moments déterminants d’un projet audiovisuel par drone

Un projet commence toujours par une étude des besoins et la formulation d’un concept bien défini. Pour anticiper les contraintes techniques, il est fondamental de repérer les lieux et de planifier le tournage. La captation des images, effectuée par des experts, vise à garantir des plans de haute qualité. La phase finale, qui comprend le montage et la post-production, assure un rendu optimal.

Styles de montage et d’édition

En combinant l’étalonnage et la correction des couleurs, on obtient une esthétique visuelle harmonieuse. L’impact visuel des vidéos est renforcé par l’intégration de transitions dynamiques et d’effets spéciaux. L’immersion et l’émotion du spectateur sont rehaussées par une bande sonore soignée, avec musique et voix-off.

Quelles recommandations suivre pour sélectionner une agence de production drone ?

Points importants à évaluer

L’expertise et le dossier d’une agence constituent des critères essentiels pour évaluer la qualité des services. Assurer la conformité aux règles de l’aviation permet d’atteindre une sécurité idéale pendant les prises de vue. Pour obtenir un rendu professionnel, il est important d’avoir une maîtrise des dernières technologies et une expertise technique.

En quoi est-il bénéfique de travailler avec des spécialistes certifiés ?

En toute conformité avec les normes légales, les télépilotes expérimentés réalisent des vols en toute sécurité. La prise en charge personnalisée tout au long du projet assure une réponse précise aux souhaits du client et maximise le rendu final.

Renforcez votre communication par le biais d’une vidéo aérienne !

Collaborer avec une entreprise de drones permet d’accéder à des images à couper le souffle et de valoriser une société. Renforcer l’identité visuelle d’une marque passe par un projet qui capte l’attention du public. Contactez un professionnel pour transformer votre communication.

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Quels avantages offre une entreprise spécialisée dans la production de drones ?

? Les drones en production audiovisuelle : des bénéfices à ne pas négliger

Les drones, en offrant des prises de vue aériennes spectaculaires, transforment la production vidéo en un véritable art cinématographique. Avec la possibilité de captation en intérieur comme en extérieur, ils garantissent une flexibilité accrue. À l’opposé des techniques traditionnelles, ils offrent une alternative économique aux prises de vue par grue ou hélicoptère.

Un effet direct sur la qualité des photographies aériennes

Des photographies en haute résolution assurent un rendu de qualité grâce aux technologies 4K et 8K. La diversité des perspectives et la qualité des transitions contribuent à produire des vidéos captivantes pour les films d’entreprise, la publicité et le cinéma.

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Retranscription des paroles de la vidéo: Okay, Leute. Genau deshalb brauchen wir eure Hilfe! Genau. Und dann kommt der Typ mit der Axt und greift dich an. Du hast sie ja weggeschwungen sozusagen. Du blockst mit deinem linken Arm, genau so. Ne, warte. Jetzt muss ich überlegen. Ich habe in der Vergangenheit schon öfters Filme gedreht mit meiner Filmgruppe ParaLight WorX. Aber es waren immer irgendwie kleinere Projekte, immer irgendwelche Kurzfilme, für YouTube halt, unter 10 Minuten und dann dachte ich mir: Na, ich würde gern so wie Hollywood mal, von vorne bis hinten, einen komplett großen Film machen. Egal wie lange es dauert. Und dann dachte ich mir: Wie wäre es mit Mad Max? Tatsächlich haben wir beim ersten Treffen gequatscht und da habe ich gesagt: Ja, das werden so 12 Drehtage. Dann ist es machbar. Und wir drehen alles in einem Steinbruch und es passt. Dass es nachher 29 Tage waren, damit hat niemand gerechnet. Dass es so groß geworden ist, auch finanziell und dass so viele Leute dazu gekommen sind, damit habe ich auch nicht gerechnet. Ich dachte, wir knacken nicht die 20 Leute, die da mitwirken. Ich bin zu diesem Projekt gekommen, weil ich am 30. Dezember 2020 auf Instagram unterwegs war und ein Foto eines Interceptors gesehen habe. Weil ich wusste, dass dieser Interceptor in Heidenheim steht, meiner Heimatstadt, dachte ich: uff, das ist eine Requisite, um die herum man perfekt einen Film drehen könnte. Da wurde ziemlich schnell klar: Adrian und ich teilen die Leidenschaft für Mad Max. Er eben vom Auto her und ich von der ganzen Welt und von der Geschichte und was man da eben alles so visuell machen könnte. Und haben dann festgestellt, dass wir eine sehr ähnliche Geschichte drehen wollten. Zusammen mit seinen Fragmenten die er mir geschickt hat, habe ich dann im Januar 2021 auch schon den ersten Entwurf präsentieren können. Der noch mit Staub: oha! Der mit richtig viel Staub. Dieser erste Entwurf wurde dann ziemlich schnell schon, ohne das Wissen der anderen, in ein Storyboard verwandelt. Weil ich so gedacht hab: ach, wenn wir das schon mal machen und sei es eben eine „nur einmal im Leben-Situation“ dann will ich das so machen wie bei FURY ROAD, wo auch der komplette Film in Storyboardform geplant und vorvisualisiert wurde. Alter! Du hast es richtig binden lassen! Alter! Erik, man! Geil. – Alter, Erik! Ich habe mich ja schon gefragt, was diese Überraschung so ist. Also hä, das ist gar nicht die Überraschung. Hast du es aufgenommen? Ich hab’s aufgenommen. Als Adrian mich gefragt hat, ob ich bei seinem Mad Max-Film Kamera machen will, hab ich mich so wahnsinnig gefreut. Ich wollte schon immer mit Adrian ein Projekt zusammen machen und als ich dann noch erfahren habe, dass Erik auch mit dabei ist, hat es mich unglaublich gefreut und ich bin da sofort mit Elan eingestiegen. Ich hatte auch schon von dem Interceptor gehört und habe dann die Storyboards gesehen und war komplett Feuer und Flamme. Durchhalten! Okay. Und los. Der erste Drehblock ist einer der wenigen Drehblöcke die bei Sonnenschein und bei Wärme, um nicht zu sagen Hitze, anstanden. Unter heftigster Hitze in einem Steinbruch. War nicht ohne. Ich war anfangs ein bisschen skeptisch, weil ich keinen Kindertheater-Fan Film machen wollte. Aber das Drehbuch war originell und die Geschichte war originell und wir hatten sehr schnell gemeinsam Lust was Neues zu schaffen, was in der Welt existiert, aber seinen eigenen neuen Blick mitbringt. Die Jacke und dieser Gürtel, alles was Max trägt, beeinflusst die Körperlichkeit enorm und beeinflusst wie du läufst, wie du dich bewegst und das war ganz toll. Da hat das Kostüm ganz doll informiert, wie es sich in Max’ Schuhen anfühlt. Es war tricky die Kampfszenen zu machen, weil die Lederhose nicht besonders bewegungsfreundlich ist und mehrfach gerissen ist auch. Und die Stiefel, die Stiefel waren so eng, dass die einzige Möglichkeit da reinzukommen war: Ohne Socken und dann mit Vaseline um die Füße und schlurf, so in die Stiefel. Das ging. Was ist das? Ja, was ist das? Also, es ist natürlich beeindruckend wie jung die Crew ist und trotzdem dieses Production Value an den Tag legt. Also jetzt nicht einfach nur die Technik, aber auch die ganze Ausstattung und dieser Traum dahinter irgendwie. Die Motivation einfach. Diesen Drive. Es ist anders. Science Fiction. Endstimmung. Dementsprechend andere Wunden, andere Narben andere Vorbereitungen. Vor allem Ziernarben, Brandnarben, andere Wunden, Ganzkörperschminke, komplette weiße Schminke, extrem lange Schminkzeiten, pro Statist circa 2 Stunden. Beziehungsweise wir haben Wunder vollbracht, wir haben weniger gebraucht. Sie hat mir den Bart geschminkt. – Und ich hab ihn geschlagen! Positiv. Also definitiv die Leute, der Zusammenhalt, die Community und dass wir einfach so ein geiles Projekt auf die Beine stellen, an einem Wochenende, wo andere Leute chillen. Weiter geht’s! Das Spannende am ersten Drehblock war für uns alle: Der Crash. Der Crash war für mich ultra wichtig im ersten Drehblock, dass wir den Zuschauern nachher einfach zeigen, dass wir halt richtig drauf hauen. Und, Gucken! Die Frage, wer den Interceptor fährt, war auch schwierig, weil wer will für einen Film in einem wirklich nicht sicheren Auto irgendwo dagegen fahren? Dann dachte ich mir: Das Auto hab ich gebaut, also übernehme ich die Verantwortung dafür. Das ist mein Film, also übernehme ich die Verantwortung dafür. Und da will ich keinen anderen mit reinziehen. Ja, tatsächlich ist kurz vorm Dreh, oder während dem Dreh besser gesagt, und kurz vor der Szene mit dem Crash, nach der ersten Fahrszene der Motor kaputt gegangen. Und zwar ist ein Kolben explodiert. Da standen wir also und zwei Stunden lief gar nichts. Der Drehplan: vollkommen über den Haufen geworfen. Die Hitze hat uns wirklich die Haut verbrannt und wir haben uns nur gefragt: Wie zum Kuckuck sollen wir das, was wir für die zwei Tage disponiert hatten, noch irgendwie umsetzen können? Einer unserer War Boys kam auf die Idee und hat gesagt: « Hey, komm, wir ziehen die Karre einfach mit einem Seil.“ Hell to the yeah! Wichtig ist, dass niemanden was passiert ist und dass es mir dann trotzdem noch gut ging. Gleich ist Weltuntergang. Der Himmel wird ein bisschen dunkel gerade, sind gerade beim Abbauen versuchen so ein bisschen eine Kombination aus « Alles fertig zu drehen », aber gleichzeitig uns gegen das Unwetter zu wappnen. Besser als Sonne, oder? – Ja, besser als Sonne, aber es muss auch halten. Wir haben noch ein paar Takes zu machen. Noch einen Warboy-Take, einen Take, der davor kam und wenn es regnet, ist der Dreh vorbei. Was hat die Vorhersage gesagt? – Unwetterwarnung. Ich hab keinen Bock mehr. Wir haben alles geschafft man, aber, ja… Auf das, dass wir fertig geworden sind, in der letzten Minute vor der Apokalypse… Also, vor dreieinhalb Jahren hätte ich niemals gedacht, dass das Projekt wirklich so existiert, wie es jetzt existiert. Ich glaube, keiner von uns hat jemals gedacht, dass es so eine so eine Reise nimmt und so ein Ausmaß annimmt und wir hatten ursprünglich mal gedacht: Na ja, die Produktion wird vielleicht ein Jahr dauern, aber dann kam mit jedem Drehblock irgendwie mehr Wahnsinn dazu und jeder Drehblock hat dieses Projekt nochmal so viel größer gemacht und uns auch so animiert, noch mal weiter über die Grenzen zu gehen und es ist total irre, wie das sich entwickelt hat und was da jetzt draus geworden ist. Spielt es kurz davor oder kurz danach? Gleichzeitig. – Also ist es der selbe Move, okay. Der geht nämlich ein Stück weiter. Wir waren zuständig für die Requisiten für den Stollen. Das heißt, wenn im Stollen irgendwas gefehlt hat, was die Location nicht bieten konnte, haben wir versucht, es eben nachzustellen. Also ob es jetzt eine neue Wand war oder ein Tunnel, den es nicht gab, oder ob es ein Skelett ist, das irgendwo von der Decke hängt, sind wir die Leute. Was wir für den Stollen gebastelt haben, waren zum Beispiel Stützbalken, die dann auf Schauspieler fallen sollen. Das heißt, da muss man aufpassen, dass es leicht genug ist und niemand zu Schaden kommt. Zudem haben wir noch… – Noch zusätzlich Steine gebaut, die noch auf dem Balken lagen, die auch noch mit runtergebrochen sind. – Die aber nicht aus Beton. Die runterfallenden Steine haben wir aus Hartschaum gemacht und angemalt. Dass diese ganzen Sachen stehen, das braucht eben eine gewisse Zeit und dann rennen aber verschiedenste kostümierte Leute rum, die nichts sehen wegen den Masken und ja… Und bleiben dann teilweise auch hängen an diesen Holzkonstruktionen. Ja, da kommt man schon ins Schwitzen. Und, bitte! Alter, wie geil! Die größte Herausforderung war, dass wir bis spät in die Nacht die Requisiten noch bauen mussten, weil wir am nächsten Tag in der Früh direkt die Requisiten gebraucht haben. Dementsprechend waren es schon sehr lange Nächte und wir hatten jetzt auch nicht so viel Manpower, dass wir da super in der Zeit lagen, sondern wir waren da schon ordentlich im Verzug, aber mit dem richtigen Willen und der guten Motivation, da kann man alles schaffen. Der Stollen war eine super spannende Location und das Herausforderndste war auf jeden Fall der Brunnenschacht, der neun Meter tief war und wir hatten auch noch einen Meter Wasser drin stehen. Das heißt, wir mussten erstmal einen zweiten Boden einziehen, den haben wir einen Tag lang gebaut, und dann halt auch Lotti, unsere Schauspielerin, da runter abgeseilt. Lotti war die auch deshalb die perfekte Besetzung, weil sie halt auch total Lust hatte, in diesen Brunnenschacht runterzugehen. Sie hat nicht etwa gesagt, oh je, da habe ich irgendwie Sorge davor, oder habe ich Angst davor da runterzuklettern, sondern als sie es gehört hat, war sie sofort Feuer und Flamme. Ich glaube, es war ja acht Meter tief und ich saß da glaub so zwei / drei Stunden drin und es war dann auf Dauer schon kalt und irgendwie auch ein bisschen gruselig. Für jeden erfolgreichen Take gibt es zwei Gummibärchen. Für mich? Und, Ahhh! Komm schon! Mister Petz! Ich ziehe dich hoch, du bekommst den Teddybären. Wo ist die Nivea? Ich lass dir das Seil runter, du bindest die Nivea dran. Lotti hat mal was ganz Süßes zu mir am Set gesagt. Da standen wir gerade Pizza essend irgendwo draußen in der Kälte und da hat sie so zu mir hochgeguckt und meinte: « Weißt du was ich cool finde? Du bist die wichtigste Person hier… » – Ist zwar faktisch vollkommen unkorrekt, aber du weißt was sie meint, « …aber du behandelst andere nicht so als wärst du die wichtigste Person hier. » Und das fand ich richtig sweet, das hat mich sehr berührt. Und sie lag natürlich falsch. Und Böller zündet. Und, Action! Und, Action! Dieses Projekt ist sehr klein gestartet und immer, immer, immer größer geworden. Ich hatte noch nie Action vorher gedreht und hatte total Lust auf diese Herausforderung. Es ist wichtig, dass wir alles echt gemacht haben. Das heißt, wenn wir einen Autocrash gemacht haben, dann klar, war das Auto trapiert, aber es geht halt darum, dass wir dann echt reincrashen. Practical Effects sind heutzutage super selten geworden im Film, aber ich denke, das gibt unserem Film dieses gewisse Etwas, was halt, ich sag mal, unbezahlbar ist, oder was man einfach vorzeigen kann. Bei dem dritten Drehblock wurde es dann richtig kalt. Wir haben im Winter gedreht, in einer alten Werkstatt, ohne Isolierung, weshalb wir Unmengen an Dieselheizern im Einsatz hatten. Glücklicherweise hat dieser Drehblock auch den großen Kampf beinhaltet, weshalb uns zumindest deshalb dann warm wurde, und zusätzlich sehr viele Funken und sehr viel Feuer, was zumindest für sehr kurze Zeit für ein bisschen Aufheizen gesorgt hat. Fünf, Vier, Drei, Zwei, Eins, Löschen! Eins, Zwei, Drei, Vier, Fünf Auto, Sieben, Acht, Neun, Zehn. Das Besondere an dem Projekt ist, dass es von vornherein klar war, dass dieses Projekt ein Fanprojekt ist und dass jeder Mensch, der bei diesem Projekt mitarbeitet, das aus reiner Leidenschaft tut und ich glaube das hat dem Film auch so gut getan und dadurch ist dieser Film so geworden wie er geworden ist, weil dadurch, dass bei diesem Projekt jeder kostenlos mitgearbeitet hat, hat es bedeutet, dass jeder nur dabei war, weil er Lust drauf hatte. Der vierte Drehblock war der Herausforderndste von allen Drehblöcken, weil wir mitten in der Wildnis gedreht haben, auf einem verlassenen Flugplatz in einem Hangar, ohne Strom, ohne Wasser, ohne Toiletten, ohne jegliche Art von Infrastruktur, wir mussten uns alles von Grund aufbauen. Das heißt, wir mussten Laufwege durch den Wald mit Paletten bauen, wir mussten Strom an den Mann bringen, wir mussten das Catering von langer Hand planen die Fahrtwege zu den Unterkünften waren ewig und irgendwie hat diese Isolation da draußen dafür gesorgt, dass wir total zusammengerückt sind, nicht nur, weil wir eben so abgeschnitten waren von allem, sondern weil es auch einfach bitter, bitter kalt gewesen ist und wir immer gesagt haben: Nach diesem Drehblock waren wir nie wieder ganz Mensch. Aller Anfang ist schwer, wir kennen es ja von anderen Drehs schon, aber wir kommen langsam in Fahrt. Denke ich mal. Schaut an: Diese Dreckskarre will einfach nicht fahren. Jeden Drehblock macht die irgendwelche Probleme. Ich bin immer noch davon überzeugt, dass es uns eigentlich keiner glaubt, dass die Leute so gefroren haben. Die Krankenbettszene, wo Daniel oben ohne im Bett lag. Das war irre und es war glaube ich absolute Folter und eine Qual und jede Probe hat in den dicksten Winterjacken stattgefunden. Dass wir da gut durchkamen und dass niemand krank wurde, ist wirklich unglaublich und ich bin sehr dankbar dafür. Ich hab wirklich den größten Respekt vor der Crew und vor dem Cast, die trotzdem alles gegeben haben bei diesem Drehblock und bei diesem Film generell, aber bei diesem Drehblock, an dem uns die Kälte wirklich aufgefressen hat. Ich bin wegen des Caterings hier. Ich auch. Ansonsten spiele ich den Maximilian. Was macht der so? Äh, der ist Schrauber und hat eine Tankstelle, aber es läuft nicht gut und er sucht Benzin. Hallo Lisa! Ich denk, das Schwierigste ist zum Beispiel, wie in Allstedt, wenn wir dann so viele Leute haben und die müssen alle nach was aussehen. Dort dann mit den Sachen, die man da hat, dann wirklich auch für jede Szene neue Leute zu erfinden. Oahhh, Liebe! Und, set! – Und, bitte! Die Komparen an diesem Drehblock, die haben auch alles gegeben. Die sind durch die Kostüme von Willi und durch diese unglaubliche Welt, die wir in diesem Hangar erschaffen haben, richtig aufgelebt. Haben ihren eigenen Charakteren Leben verschafft und ich glaube, dass man, obwohl diese Komparsen im Hintergrund sind, das trotzdem spürt. Eine sehr große Herausforderung bei diesem Drehblock war das Tor des Hangars. Dieses Tor war 20 Tonnen schwer und sobald es einmal geöffnet war, konnte man es nur sehr, sehr schwer schließen: Und zwar mit einem Panzer, der zufällig auf diesem Flugplatz rumstand und einem von dort gehört hat. An einem der Drehtage war das Hangartour morgens offen. Wir mussten es aber geschlossen haben, damit dieser Tag überhaupt stattfinden kann. Die Person mit dem Panzer war aber nicht am Set. Wir haben es dann mit zwei Autos versucht, die wir hintereinander gebunden haben, und mit qualmenden Kupplungen und sehr viel Hoffen und Beten hat es tatsächlich am Ende geklappt, dieses Tor zu schließen, mit sehr vielen Versuchen, und das war ein großes Fest, weil wir dann mit etwas Verzögerung diesen Drehtag starten konnten. Oh ja, oh ja, Erik! Und jetzt, meine Lieben, ist ein ganz besonderer Moment erreicht… Moment. – Moment. La moment. Lotti und Inken sind beide abgedreht! Der fünfte Drehblock war der längste Drehblock mit zwei Tagdrehtagen und sieben Nächten und vor allem die sieben Nächte hatten es echt in sich. Heute drehen wir von 10 bis 5 oder so und dann räumen wir auf. Geile Stirnlampe! – Wie so ein Einhorn! Wie so von einem Zahnarzt oder so! Herr Roll, zeigen Sie mal, waren Sie denn auch brav letztes Jahr? Wir hatten 6 Stunden Dunkelheit, weil wir im Sommer gedreht haben, und mussten in dieser Zeit künstlich einen Mond erschaffen, wir mussten riesige Hänge in diesem Steinbruch beleuchten und ich glaube, es ist schwer zu begreifen, dass jedes einzelne dieser Bilder, die wir da erstellt haben, eine unglaubliche Herausforderung war. Was auch sehr herausfordernd war, war bei Nacht in einem Steinbruch zu sein und in diesem Steinbruch die Kamera an einem viel zu kleinen Quad hängen zu haben und mit der Kamera möglichst nah an den Boden zu kommen, um auch diesen klassischen Mad Max-Look zu generieren, der in den ersten drei Teilen oft vorkommt vor allem, da wo die Kamera einfach sehr nah am Boden ist, und den wollten wir erzeugen und zwar auf eine Art und Weise wie es halt einfach total verrückt war, weil dieses… es war einfach nicht dafür ausgelegt. Boah, welches Bild? Das ist ganz schwierig, weil es gibt ja verschiedene Arten warum ein Bild schwierig ist, es gab zum Beispiel die Explosionen die wir halt nur ein einziges Mal drehen konnten, weil wenn die Explosion passiert ist, hätte es Unmengen an Zeit gebraucht, die wieder aufzubauen. Wir haben heute nur einen einzigen Versuch, um dieses Auto Luft zu jagen. Deswegen filmen wir mit fünf Kameras, vielleicht sogar sechs, wir schauen mal, weil es keine zweite Chance gibt. Es muss alles sitzen, deswegen wird jetzt umfangreich geprobt und dann schauen wir, wie es knallt… Mindestabstand zu dem ganzen Ding – auch von den Fahrzeugen – fünf Meter. Normalerweise ist das Ganze nach oben gerichtet, aber es kann passieren, dass da irgendwelche losen Teile wegfliegen, Steine die rumliegen, das tut einfach weh. Muss nicht sein. Wir haben insgesamt sechs Kameras heute aufgebaut, das hier ist die wichtigste, die A-Kamera, dann eine zweite Kamera steht da hinten, eine steht hier oben, eine befindet sich im Auto, und dann haben wir noch zwei weitere, da sind die Positionen noch nicht ganz festgelegt, aber die werden auch tendenziell hier um das Gelände verteilt sein. Let’s go! Es hat auf jeden Fall Spaß gemacht, also gesehen habe ich eigentlich gar nichts, es war geschützt hinter mir, also es ist nur im hinteren Teil im Auto explodiert und da war so eine Schutzfläche zwischen uns. Ich hab es gehört, es war sehr laut, aber eigentlich gar nicht gesehen oder gespürt und ich habe nur am Ende gesehen, wie es auf Videos aussah: es war richtig cool und sehr groß. Am Ende wurden wir mit der großen Explosion belohnt die uns alle wahnsinnig glücklich gemacht hat, weil da ein Großteil des Films dann abgedreht war damit, und dafür sind alle noch mal zusammengekommen. Mit Wolfgang im Schnittraum zu sitzen, war eine wahre Freude, weil hier jemand dazu kam, nachdem wir schon fünf Drehblöcke im Kasten hatten, der sich eben den Assembly vorgenommen hat, und das ganze Material nach anderthalb Jahren eben auch mit frischen Augen betrachten konnte. Im Schnitt haben wir dann aber auch festgestellt, dass die ganzen Sequenzen, die eben auch schon geboardet waren, mit den Flügen und mit der Wüste und den Wracks und der versunkenen Stadt, dass die absolut notwendig sind, um die ganzen Elemente und Szenen, die schon gedreht wurden, miteinander zu verbinden. Es war klar: Wir brauchen, um diesen Film rund zu machen, Aufnahmen in der echten Wüste. Und dann hatten wir überlegt irgendwie Dänemark vielleicht, oder Braunkohle-Tagebau, aber nee, am Ende wurde es Spanien, weil das ist die wirkliche Wüste. Wir haben Freudensprünge gemacht, als wir Leute gefunden haben, die bereit gewesen sind, den Interceptor auf den Anhänger zu packen und damit einfach tausende von Kilometern zurückzulegen, um ihn dann dort in der Wüste für uns abzuladen. Mit der Firma, die uns die Drohnenaufnahmen ermöglichte, war plötzlich der Film nochmal auf ein anderes Level gehoben worden, weil es sich plötzlich wie Mad Max angefühlt hat, als wir diese Strecken zurücklegen konnten und wirklich richtiger Wüstenstaub von den dicken Autoreifen unseres Interceptors aufgewirbelt wurde. In Spanien wollten wir Fahrszenen drehen und Luftaufnahmen machen, und da haben wir tatsächlich eine Drohnenfirma dafür gewinnen können, kopterwork, die uns am Ende wirklich die 50.000 Euro teure Kamera durch die Luft geflogen hat, was unglaublich ist, weil diese Aufnahmen, die machen den Film wahnsinnig viel reicher. Ich fühl mich beobachtet! Tiefer, tiefer! Mit der Drohne tiefer! Geht es, dass wir noch tiefer und noch näher dran sind am Ende? Der Spanien-Drehblock war noch mal einiges an Herausforderung, auch finanziell, weshalb wir glücklicherweise einen Koproduzenten gefunden haben, den Daniel von Bureau Dada, und der hat es uns tatsächlich möglich gemacht, dass wir mit dem gesamten Interceptor und Kameraequipment nach Spanien konnten und dort 5 Tage drehen konnten. Die Lichtquelle ist verschwunden. Wir denken nicht an schlechtes Wetter in Spanien, es könnte regnen, aber das sich halt mal eine Wolkenfront vor die Sonne schiebt, ist eine Tatsache, mit dem wir uns gerade konfrontiert sehen. Da kann auch mein Ko-Produzent nichts machen. Aber er tut, was er kann! Okay, alles klar. Und, los! Die letzten Aufnahmen des Interceptors haben wir bei Nacht gedreht, in einem Sandsturm, mit zwei Drohnen in der Luft. An einer an einer Drohne war die Kamera gehangen, an einer anderen das Mondlicht, dass wir geleuchtet haben, und das war noch mal eine riesige Herausforderung, das alles zu koordinieren: Wo ist die Kamera? Wo ist der Interceptor? Wo ist der Mond? Und dann diese Fahraufnahmen zu erstellen, das war eine große Herausforderung, aber hat wieder wahnsinnig viel Spaß gemacht und so hat wirklich der Interceptor nochmal sein fulminantes Ende gefunden bei diesem Dreh. Dein Job heute war einfach nur Rumsitzen, während ein anderer Auto gefahren ist. Ja. – Du bist eigentlich Fahrlehrer gewesen. Ja. Das ist mir wichtig. Und dann bist du auch noch auf dem Poster. – Ja. Das ich bezahle. – Ja. Der letzte Drehtag in Spanien hatte auch noch mal was ganz besonderes zu bieten: Und zwar konnten wir Luna Negra für uns gewinnen, eine spanische Mad Max-Fangruppe, die aus ganz Spanien für uns zusammengekommen ist und mit uns nochmal ganz tolle Introszenen gedreht hat. Und Action! Danke! Mit Spanien konnten wir endlich abschließen, was wir zwei Jahre zuvor begonnen hatten, und hatten alle Puzzleteile zur Verfügung. Wir hatten ganz tolle Aufnahmen im Gepäck und sind damit in eine Postproduktion gestartet, die es auch noch mal in sich hatte. Für den Film hatten wir über 100 VFX-Shots, weshalb der Postproduktionsprozess auch über ein Jahr gedauert hat. Als wir noch 25 VFX-Shots übrig hatten, haben wir Pixone Images kennengelernt, die uns dann mit dem Emerging Talent Award ausgezeichnet haben. Das bedeutet, sie haben kostenlos für uns 25 VFX-Shots bearbeitet und haben auch da wieder Wunder vollbracht. Sie haben zum Beispiel einen Steinbruch in eine Berglandschaft gesetzt und einen Sonnenaufgang erstellt, aus einem Foto, das in der blauen Stunde fotografiert wurde. Mit Dimitris Dodoras haben wir richtig Glück gehabt. Auch er wurde vom Mad Max-Fieber infiziert und konnte irgendwann nicht mehr anders, als den Vorschlag zu bringen: Hey Leute, jetzt haben wir schon den Score hier so in der Demoversion, aber wie wäre es, wenn wir Teile davon mit echtem Orchester aufnehmen? Und so haben wir gesagt: Okay, wir gucken mal und nehmen einfach mal eine Session mit und nachdem wir diese ersten zwei Minuten gehört haben, haben haben wir gesagt: Oh, wow! Das ist ja wirklich ein Unterschied wie Tag und Nacht! Und daraufhin hat er gesagt: Okay, wie wär es, wenn wir nochmal fünf Minuten aufnehmen? Und wir haben gesagt: Ja, gut, machen wir nochmal fünf Minuten. Dabei blieb es nicht und am Ende hatten wir 15 Minuten Orchestermusik und mit dem Spirit sind wir dann am Ende bei unserem Score gelandet, der, abgemischt in Dolby Atmos von Christian Vaida, einfach alle Register zieht und hoffentlich die Leute allein schon für sich, wenn man ihn sich so anhört, in den Bann zieht. Was wäre ein Mad Max-Film ohne die röhenden Motoren, ohne die krachenden Schüsse, die bebenden Explosionen und einfach den ganzen Wahnsinn? Mit Saro Sahihi als Sounddesigner und Volker Armbruster als Rerecording Mixer hatten wir nachher zwei Leute am Start, die den ganzen Film in Dolby Atmos zusammengefügt haben. In dem Fall wollen wir nicht nur eine Realität schaffen, sondern Leute in eine Welt transportieren, die es zum Glück so nicht gibt, nämlich ins Wasteland, und ich denke, dass der Dolby Atmos Mix absolut maßgeblich dafür ist, dass das eben möglich ist. Dass die Leute sich so transportiert fühlen. Und deswegen empfehle ich allen, unbedingt Kopfhörer zu verwenden damit die Arbeit dieses Soundteams auch wirklich zur Geltung kommt. Ich bin mir ziemlich sicher dass es geholfen hat, dass es Freunde sind, die sich entschlossen haben, einen Film zu drehen, der richtig gut geworden ist und das alles nur entstanden ist aufgrund von Freundschaften, weil es im Endeffekt eine Art Riesen-Klassenfahrt war. Das Projekt macht eindeutig die Zusammenarbeit all der Talente besonders, in jeder Position. Es ging nicht darum, dass ein Department gegen ein anderes gekämpft hat, es ging nicht darum, dass Ellbogen ausgefahren wurden, sondern man hat miteinander gearbeitet. Die letzten Meter des Films! Also es wild, dass wir da so viel reininvestiert haben, aber es hat sich gelohnt, weil das Produkt, finde ich, lässt sich absolut sehen und ich würde es auf jeden Fall wieder so machen. Ich meine, es ist ein Traum und wir wissen alle, dass Träume auch nicht wahr werden können, aber manche werden einfach wahr. Ich habe es letztens zu Erik gesagt: Allein die Erfahrung war es mir wert, das Geld auszugeben. Und das fertige Produkt jetzt zu sehen, den fertigen Film zu sehen ist halt natürlich Wahnsinn. Ich sag, das war’s voll wert. Würde ich auf jeden Fall nochmal machen. .

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Déroulement de la vidéo:

24.44 Okay, Leute. Genau deshalb
24.44 brauchen wir eure Hilfe!
24.44 Genau. Und dann kommt der Typ 
mit der Axt und greift dich an.
24.44 Du hast sie ja weggeschwungen sozusagen.
24.44 Du blockst mit deinem linken Arm, genau so.
24.44 Ne, warte.
24.44 Jetzt muss ich überlegen.
24.44 Ich habe in  der Vergangenheit schon öfters Filme gedreht
24.44 mit meiner Filmgruppe ParaLight WorX.
24.44 Aber es waren immer irgendwie kleinere Projekte,
24.44 immer irgendwelche Kurzfilme, für YouTube halt,
24.44 unter 10 Minuten und dann dachte ich mir:
24.44 Na, ich würde gern so wie Hollywood mal,
von vorne bis hinten,
24.44 einen komplett großen Film machen.
24.44 Egal wie lange es dauert.
24.44 Und dann dachte ich mir:
24.44 Wie wäre es mit Mad Max?
24.44 Tatsächlich haben wir beim ersten Treffen 
gequatscht und da habe ich gesagt:
24.44 Ja, das werden so 12 Drehtage.
Dann ist es machbar.
24.44 Und wir drehen alles in einem
Steinbruch und es passt.
24.44 Dass es nachher 29 Tage waren, damit
hat niemand gerechnet.
24.44 Dass es so groß geworden ist, auch finanziell
24.44 und dass so viele Leute dazu gekommen sind,
24.44 damit habe ich auch nicht gerechnet.
24.44 Ich dachte, wir knacken nicht die
20 Leute, die da mitwirken.
24.44 Ich bin zu diesem Projekt gekommen,
weil ich am 30. Dezember 2020
24.44 auf Instagram unterwegs war
24.44 und ein Foto eines Interceptors gesehen habe.
24.44 Weil ich wusste, dass dieser Interceptor in
Heidenheim steht, meiner Heimatstadt,
24.44 dachte ich: uff, das ist eine Requisite,
24.44 um die herum man perfekt
einen Film drehen könnte.
24.44 Da wurde ziemlich schnell klar:
24.44 Adrian und ich teilen die
Leidenschaft für Mad Max.
24.44 Er eben vom Auto her
24.44 und ich von der ganzen Welt
und von der Geschichte
24.44 und was man da eben alles
so visuell machen könnte.
24.44 Und haben dann festgestellt,
24.44 dass wir eine sehr ähnliche
Geschichte drehen wollten.
24.44 Zusammen mit seinen Fragmenten
die er mir geschickt hat,
24.44 habe ich dann im Januar 2021
24.44 auch schon den ersten Entwurf
präsentieren können.
24.44 Der noch mit Staub: oha!
24.44 Der mit richtig viel Staub.
24.44 Dieser erste Entwurf wurde dann
ziemlich schnell schon,
24.44 ohne das Wissen der anderen,
in ein Storyboard verwandelt.
24.44 Weil ich so gedacht hab: ach, wenn
wir das schon mal machen
24.44 und sei es eben eine „nur
einmal im Leben-Situation“
24.44 dann will ich das so machen
wie bei FURY ROAD,
24.44 wo auch der komplette Film
in Storyboardform
24.44 geplant und vorvisualisiert wurde.
24.44 Alter!
24.44 Du hast es richtig binden lassen!
24.44 Alter! Erik, man!
24.44 Geil.
– Alter, Erik!
24.44 Ich habe  mich ja schon gefragt,
was diese Überraschung so ist.
24.44 Also hä, das ist gar
nicht die Überraschung.
24.44 Hast du es aufgenommen?
24.44 Ich hab&;s aufgenommen.
24.44 Als Adrian mich gefragt hat,
24.44 ob ich bei seinem Mad Max-Film
Kamera machen will,
24.44 hab ich mich so wahnsinnig gefreut.
24.44 Ich wollte schon immer mit Adrian
ein Projekt zusammen machen
24.44 und als ich dann noch erfahren habe,
dass Erik auch mit dabei ist,
24.44 hat es mich unglaublich gefreut
24.44 und ich bin da sofort
mit Elan eingestiegen.
24.44 Ich hatte auch schon von
dem Interceptor gehört
24.44 und habe dann die Storyboards gesehen
24.44 und war komplett Feuer und Flamme.
24.44 Durchhalten!
24.44 Okay. Und los.
24.44 Der erste Drehblock ist einer
der wenigen Drehblöcke
24.44 die bei Sonnenschein und bei Wärme,
24.44 um nicht zu sagen Hitze, anstanden.
24.44 Unter heftigster Hitze 
in einem Steinbruch. War nicht ohne.
24.44 Ich war anfangs ein bisschen skeptisch,
24.44 weil ich keinen Kindertheater-Fan Film machen wollte.
24.44 Aber das Drehbuch war originell 
und die Geschichte war originell
24.44 und wir hatten sehr schnell gemeinsam
Lust was Neues zu schaffen,
24.44 was in der Welt existiert, aber seinen
eigenen neuen Blick mitbringt.
24.44 Die Jacke und dieser Gürtel,
24.44 alles was Max trägt, beeinflusst
die Körperlichkeit enorm
24.44 und beeinflusst wie du läufst, wie 
du dich bewegst
24.44 und das war ganz toll.
24.44 Da hat das Kostüm ganz doll informiert,
24.44 wie es sich in Max&; Schuhen anfühlt.
24.44 Es war tricky die Kampfszenen zu machen,
24.44 weil die Lederhose nicht besonders
bewegungsfreundlich ist
24.44 und mehrfach gerissen ist auch.
24.44 Und die Stiefel,
24.44 die Stiefel waren so eng,
24.44 dass die einzige Möglichkeit da reinzukommen war:
24.44 Ohne Socken und dann mit 
Vaseline um die Füße und schlurf,
24.44 so in die Stiefel.
24.44 Das ging.
24.44 Was ist das?
24.44 Ja, was ist das?
24.44 Also, es ist natürlich beeindruckend 
wie jung die Crew ist
24.44 und trotzdem dieses Production
Value an den Tag legt.
24.44 Also jetzt nicht einfach nur die Technik,
24.44 aber auch die ganze Ausstattung
24.44 und dieser Traum dahinter irgendwie.
24.44 Die Motivation einfach. Diesen Drive.
24.44 Es ist anders. Science Fiction. Endstimmung.
24.44 Dementsprechend andere Wunden, andere Narben  
24.44 andere Vorbereitungen.
24.44 Vor allem Ziernarben, Brandnarben, 
andere Wunden,
24.44 Ganzkörperschminke,
komplette weiße Schminke,
24.44 extrem lange Schminkzeiten,
pro Statist circa 2 Stunden.
24.44 Beziehungsweise wir haben Wunder vollbracht,
wir haben weniger gebraucht.
24.44 Sie hat mir den Bart geschminkt.
24.44 – Und ich hab ihn geschlagen!
24.44 Positiv. Also definitiv die Leute, der 
Zusammenhalt, die Community
24.44 und dass wir einfach so ein geiles
Projekt auf die Beine stellen,
24.44 an einem Wochenende,
wo andere Leute chillen.
24.44 Weiter geht&;s!
24.44 Das Spannende am ersten
Drehblock war für uns alle:
24.44 Der Crash.
24.44 Der Crash war für mich ultra 
wichtig im ersten Drehblock,
24.44 dass wir den Zuschauern nachher
einfach zeigen,
24.44 dass wir halt richtig drauf hauen.
24.44 Und, Gucken!
24.44 Die Frage, wer den Interceptor
fährt, war auch schwierig,
24.44 weil wer will für einen Film in einem
wirklich nicht sicheren Auto
24.44 irgendwo dagegen fahren?
24.44 Dann dachte ich mir:
Das Auto hab ich gebaut,
24.44 also übernehme ich die
Verantwortung dafür.
24.44 Das ist mein Film, also übernehme
ich die Verantwortung dafür.
24.44 Und da will ich keinen
anderen mit reinziehen.
24.44 Ja, tatsächlich ist kurz vorm Dreh,
24.44 oder während dem Dreh besser gesagt,
und kurz vor der Szene mit dem Crash,
24.44 nach der ersten Fahrszene der
Motor kaputt gegangen.  
24.44 Und zwar ist ein Kolben explodiert.
24.44 Da standen wir also
24.44 und zwei Stunden lief gar nichts.
24.44 Der Drehplan: vollkommen über
den Haufen geworfen.
24.44 Die Hitze hat uns wirklich die Haut verbrannt
24.44 und wir haben uns nur gefragt:
Wie zum Kuckuck sollen wir das,
24.44 was wir für die zwei Tage disponiert hatten,
noch irgendwie umsetzen können?
24.44 Einer unserer War Boys kam auf
die Idee und hat gesagt:
24.44 "Hey, komm, wir ziehen die
Karre einfach mit einem Seil.“
24.44 Hell to the yeah!
24.44 Wichtig ist, dass niemanden was passiert ist 
und dass es mir dann trotzdem noch gut ging.
24.44 Gleich ist Weltuntergang.
24.44 Der Himmel wird ein bisschen dunkel gerade,
sind gerade beim Abbauen
24.44 versuchen so ein bisschen eine Kombination
aus "Alles fertig zu drehen",
24.44 aber gleichzeitig uns gegen das Unwetter zu wappnen.
24.44 Besser als Sonne, oder? – Ja, besser 
als Sonne, aber es muss auch halten.
24.44 Wir haben noch ein paar Takes zu machen.
24.44 Noch einen Warboy-Take, einen Take, der davor kam
24.44 und wenn es regnet, ist der Dreh vorbei.
24.44 Was hat die Vorhersage gesagt?
– Unwetterwarnung.
24.44 Ich hab keinen Bock mehr.
24.44 Wir haben alles geschafft man, aber, ja…
24.44 Auf das, dass wir fertig geworden sind,
24.44 in der letzten Minute vor der Apokalypse…
24.44 Also, vor dreieinhalb Jahren hätte ich
niemals gedacht, dass das Projekt
24.44 wirklich so existiert, wie es jetzt existiert.
24.44 Ich glaube, keiner von uns hat jemals gedacht,
24.44 dass es so eine so eine Reise nimmt
24.44 und so ein Ausmaß annimmt
24.44 und wir hatten ursprünglich mal gedacht: 
24.44 Na ja, die Produktion wird
vielleicht ein Jahr dauern,
24.44 aber dann kam mit jedem Drehblock irgendwie
24.44 mehr Wahnsinn dazu und jeder Drehblock
24.44 hat dieses Projekt nochmal so
viel größer gemacht
24.44 und uns auch so animiert, noch mal
weiter über die Grenzen zu gehen
24.44 und es ist total irre,
24.44 wie das sich entwickelt hat und was
da jetzt draus geworden ist.
24.44 Spielt es kurz davor oder kurz danach?
24.44 Gleichzeitig.
– Also ist es der selbe Move, okay.
24.44 Der geht nämlich ein Stück weiter.
24.44 Wir waren zuständig für die Requisiten
für den Stollen.
24.44 Das heißt, wenn im Stollen
irgendwas gefehlt hat,
24.44 was die Location nicht bieten konnte,
haben wir versucht, es eben nachzustellen.
24.44 Also ob es jetzt eine neue Wand war
oder ein Tunnel, den es nicht gab,
24.44 oder ob es ein Skelett ist, das irgendwo
von der Decke hängt, sind wir die Leute.
24.44 Was wir für den Stollen gebastelt 
haben, waren zum Beispiel Stützbalken,
24.44 die dann auf Schauspieler fallen sollen.
24.44 Das heißt, da muss man aufpassen,
dass es leicht genug ist
24.44 und niemand zu Schaden kommt.
24.44 Zudem haben wir noch…
– Noch zusätzlich Steine gebaut,
24.44 die noch auf dem Balken lagen, die auch
noch mit runtergebrochen sind.
24.44 – Die aber nicht aus Beton.
24.44 Die runterfallenden Steine haben wir aus 
Hartschaum gemacht und angemalt.
24.44 Dass diese ganzen Sachen stehen,
das braucht eben eine gewisse Zeit
24.44 und dann rennen aber verschiedenste kostümierte Leute rum,
24.44 die nichts sehen wegen den Masken und ja…
24.44 Und bleiben dann teilweise auch hängen
an diesen Holzkonstruktionen.
24.44 Ja, da kommt man schon ins Schwitzen.
24.44 Und, bitte!
24.44 Alter, wie geil!
24.44 Die größte Herausforderung war, dass 
wir bis spät in die Nacht
24.44 die Requisiten noch bauen mussten,
weil wir am nächsten Tag
24.44 in der Früh direkt die Requisiten
gebraucht haben.
24.44 Dementsprechend waren es
schon sehr lange Nächte
24.44 und wir hatten jetzt auch nicht so viel Manpower,
dass wir da super in der Zeit lagen,
24.44 sondern wir waren da schon
ordentlich im Verzug,
24.44 aber mit dem richtigen Willen
24.44 und der guten Motivation,
da kann man alles schaffen.
24.44 Der Stollen war eine super
spannende Location  
24.44 und das Herausforderndste war auf
jeden Fall der Brunnenschacht,
24.44 der neun Meter tief war und wir hatten
auch noch einen Meter Wasser drin stehen.
24.44 Das heißt, wir mussten erstmal einen 
zweiten Boden einziehen,
24.44 den haben wir einen Tag lang gebaut,
24.44 und dann halt auch Lotti, unsere
Schauspielerin, da runter abgeseilt.
24.44 Lotti war die auch deshalb
die perfekte Besetzung,
24.44 weil sie halt auch total Lust hatte, in
diesen Brunnenschacht runterzugehen.
24.44 Sie hat nicht etwa gesagt, oh je, da habe
ich irgendwie Sorge davor,
24.44 oder habe ich Angst davor da runterzuklettern,
24.44 sondern als sie es gehört hat, war
sie sofort Feuer und Flamme.
24.44 Ich glaube, es war ja acht Meter tief
24.44 und ich saß da glaub so zwei / drei Stunden drin
24.44 und es war dann auf Dauer schon kalt
24.44 und irgendwie auch ein bisschen gruselig.
24.44 Für jeden erfolgreichen Take gibt es
zwei Gummibärchen.
24.44 Für mich?
24.44 Und, Ahhh!
24.44 Komm schon!
24.44 Mister Petz!
24.44 Ich ziehe dich hoch, du
bekommst den Teddybären.
24.44 Wo ist die Nivea?
24.44 Ich lass dir das Seil runter,
du bindest die Nivea dran.
24.44 Lotti hat mal was ganz Süßes
zu mir am Set gesagt.
24.44 Da standen wir gerade Pizza essend
irgendwo draußen in der Kälte
24.44 und da hat sie so zu mir hochgeguckt
24.44 und meinte:
"Weißt du was ich cool finde?
24.44 Du bist die wichtigste Person hier…"
24.44 – Ist zwar faktisch vollkommen unkorrekt,
24.44 aber du weißt was sie meint,
24.44 "…aber du behandelst andere nicht so
als wärst du die wichtigste Person hier."
24.44 Und das fand ich richtig sweet,
das hat mich sehr berührt.
24.44 Und sie lag natürlich falsch.
24.44 Und Böller zündet.
24.44 Und, Action!
24.44 Und, Action!
24.44 Dieses Projekt ist sehr klein gestartet
24.44 und immer, immer, immer größer geworden.
24.44 Ich hatte noch nie Action vorher gedreht
24.44 und hatte total Lust auf diese Herausforderung.
24.44 Es ist wichtig, dass wir alles echt gemacht haben.
24.44 Das heißt, wenn wir einen Autocrash gemacht
haben, dann klar, war das Auto trapiert,
24.44 aber es geht halt darum, dass
wir dann echt reincrashen.
24.44 Practical Effects sind heutzutage
super selten geworden im Film,
24.44 aber ich denke, das gibt unserem
Film dieses gewisse Etwas,
24.44 was halt, ich sag mal, unbezahlbar ist,
24.44 oder was man einfach vorzeigen kann.
24.44 Bei dem dritten Drehblock wurde
es dann richtig kalt.
24.44 Wir haben im Winter gedreht, in einer
alten Werkstatt, ohne Isolierung,
24.44 weshalb wir Unmengen an 
Dieselheizern im Einsatz hatten.
24.44 Glücklicherweise hat dieser Drehblock
auch den großen Kampf beinhaltet,
24.44 weshalb uns zumindest deshalb dann warm wurde,
24.44 und zusätzlich sehr viele Funken und sehr viel Feuer,
24.44 was zumindest für sehr kurze Zeit 
für ein bisschen Aufheizen gesorgt hat.
24.44 Fünf, Vier, Drei, Zwei, Eins, Löschen!
24.44 Eins, Zwei, Drei, Vier, Fünf
24.44 Auto, Sieben, Acht, Neun, Zehn.
24.44 Das Besondere an dem Projekt 
ist, dass es von vornherein klar war,
24.44 dass dieses Projekt ein Fanprojekt ist
und dass jeder Mensch,
24.44 der bei diesem Projekt mitarbeitet,
das aus reiner Leidenschaft tut
24.44 und ich glaube das hat dem Film auch so gut getan
24.44 und dadurch ist dieser Film so
geworden wie er geworden ist,
24.44 weil dadurch, dass bei diesem Projekt
jeder kostenlos mitgearbeitet hat,
24.44 hat es bedeutet, dass jeder nur dabei
war, weil er Lust drauf hatte.
24.44 Der vierte Drehblock war der
Herausforderndste von allen Drehblöcken,
24.44 weil wir mitten in der Wildnis gedreht haben,
24.44 auf einem verlassenen Flugplatz
in einem Hangar,
24.44 ohne Strom, ohne Wasser, ohne Toiletten,
24.44 ohne jegliche Art von Infrastruktur, wir 
mussten uns alles von Grund aufbauen.
24.44 Das heißt, wir mussten Laufwege durch
den Wald mit Paletten bauen,
24.44 wir mussten Strom an den Mann bringen,
24.44 wir mussten das Catering von langer Hand planen
24.44 die Fahrtwege zu den Unterkünften waren ewig
24.44 und irgendwie hat diese Isolation
da draußen dafür gesorgt,
24.44 dass wir total zusammengerückt sind,
24.44 nicht nur, weil wir eben so abgeschnitten
waren von allem,
24.44 sondern weil es auch einfach bitter,
bitter kalt gewesen ist
24.44 und wir immer gesagt haben:
24.44 Nach diesem Drehblock waren
wir nie wieder ganz  Mensch.
24.44 Aller Anfang ist schwer, wir kennen es
ja von anderen Drehs schon,
24.44 aber wir kommen langsam in Fahrt.
24.44 Denke ich mal. Schaut an:
24.44 Diese Dreckskarre will einfach nicht fahren.
24.44 Jeden Drehblock macht die irgendwelche Probleme.
24.44 Ich bin immer noch davon überzeugt,
dass es uns eigentlich keiner glaubt,
24.44 dass die Leute so gefroren haben.
24.44 Die Krankenbettszene, wo Daniel oben ohne im Bett lag.
24.44 Das war irre und es war glaube ich
absolute Folter und eine Qual
24.44 und jede Probe hat in den dicksten
Winterjacken stattgefunden.
24.44 Dass wir da gut durchkamen und
dass niemand krank wurde,
24.44 ist wirklich unglaublich und ich
bin sehr dankbar dafür.
24.44 Ich hab wirklich den größten Respekt
vor der Crew und vor dem Cast,
24.44 die trotzdem alles gegeben haben
bei diesem Drehblock
24.44 und bei diesem Film generell,
aber bei diesem Drehblock,
24.44 an dem uns die Kälte wirklich
aufgefressen hat.
24.44 Ich bin wegen des Caterings hier.
24.44 Ich auch.
24.44 Ansonsten spiele ich den Maximilian.
24.44 Was macht der so?
24.44 Äh, der ist Schrauber und
hat eine Tankstelle,
24.44 aber es läuft nicht gut
und er sucht Benzin.
24.44 Hallo Lisa!
24.44 Ich denk, das Schwierigste ist zum
Beispiel, wie in Allstedt,
24.44 wenn wir dann so viele Leute haben
und die müssen alle nach was aussehen.
24.44 Dort dann mit den Sachen, die man
da hat, dann wirklich auch
24.44 für jede Szene neue Leute zu erfinden.
24.44 Oahhh, Liebe!
24.44 Und, set! – Und, bitte!
24.44 Die Komparen an diesem Drehblock,
die haben auch alles gegeben.
24.44 Die sind durch die Kostüme von Willi
24.44 und durch diese unglaubliche Welt,
die wir in diesem Hangar erschaffen haben,
24.44 richtig aufgelebt.
24.44 Haben ihren eigenen Charakteren
Leben verschafft  
24.44 und ich glaube, dass man, obwohl diese Komparsen 
im Hintergrund sind, das trotzdem spürt.
24.44 Eine sehr große Herausforderung bei diesem 
Drehblock war das Tor des Hangars.  
24.44 Dieses Tor war 20 Tonnen schwer
24.44 und sobald es einmal geöffnet war,
24.44 konnte man es nur sehr, sehr schwer schließen:
24.44 Und zwar mit einem Panzer, der 
zufällig auf diesem Flugplatz rumstand
24.44 und einem von dort gehört hat.
24.44 An einem der Drehtage war das
Hangartour morgens offen.
24.44 Wir mussten es aber geschlossen haben, 
damit dieser Tag überhaupt stattfinden kann.
24.44 Die Person mit dem Panzer
war aber nicht am Set.
24.44 Wir haben es dann mit zwei Autos versucht, 
die wir hintereinander gebunden haben,
24.44 und mit qualmenden Kupplungen und
sehr viel Hoffen und Beten
24.44 hat es tatsächlich am Ende geklappt,
24.44 dieses Tor zu schließen, mit sehr
vielen Versuchen,
24.44 und das war ein großes Fest,
weil wir dann
24.44 mit etwas Verzögerung diesen
Drehtag starten konnten.
24.44 Oh ja, oh ja, Erik!
24.44 Und jetzt, meine Lieben, ist 
ein ganz besonderer Moment erreicht…
24.44 Moment. – Moment.
24.44 La moment.
24.44 Lotti und Inken sind beide abgedreht!
24.44 Der fünfte Drehblock war
der längste Drehblock
24.44 mit zwei Tagdrehtagen und sieben Nächten
24.44 und vor allem die sieben Nächte
hatten es echt in sich.
24.44 Heute drehen wir von
24.44 10 bis 5 oder so
24.44 und dann räumen wir auf.
24.44 Geile Stirnlampe!
– Wie so ein Einhorn!
24.44 Wie so von einem Zahnarzt oder so!
24.44 Herr Roll, zeigen Sie mal,
24.44 waren Sie denn auch brav letztes Jahr?
24.44 Wir hatten 6 Stunden Dunkelheit,
24.44 weil wir im Sommer gedreht haben,
24.44 und mussten in dieser Zeit künstlich
einen Mond erschaffen,
24.44 wir mussten riesige Hänge in diesem
Steinbruch beleuchten
24.44 und ich glaube, es ist schwer zu begreifen,
24.44 dass jedes einzelne dieser Bilder,
die wir da
24.44 erstellt haben,
24.44 eine unglaubliche Herausforderung war.
24.44 Was auch sehr herausfordernd war,
24.44 war bei Nacht in einem Steinbruch zu sein
24.44 und in diesem Steinbruch die Kamera
24.44 an einem viel zu kleinen Quad
hängen zu haben
24.44 und mit der Kamera möglichst nah
an den Boden zu kommen,
24.44 um auch diesen klassischen
Mad Max-Look zu generieren,
24.44 der in den ersten drei Teilen 
oft vorkommt vor allem,
24.44 da wo die Kamera einfach sehr nah am Boden ist,
24.44 und den wollten wir erzeugen
und zwar auf eine Art und Weise
24.44 wie es halt einfach total verrückt war,
24.44 weil dieses…
es war einfach nicht dafür ausgelegt.
24.44 Boah, welches Bild?
Das ist ganz schwierig,
24.44 weil es gibt ja verschiedene Arten
24.44 warum ein Bild schwierig ist,
24.44 es gab zum Beispiel die Explosionen 
24.44 die wir halt nur ein einziges Mal drehen konnten,
24.44 weil wenn die Explosion passiert ist,
24.44 hätte es Unmengen an Zeit gebraucht,
die wieder aufzubauen.
24.44 Wir haben heute nur einen 
einzigen Versuch,
24.44 um dieses Auto Luft zu jagen.
24.44 Deswegen filmen wir mit fünf Kameras,
vielleicht sogar sechs, wir schauen mal,
24.44 weil es keine zweite Chance gibt.
24.44 Es muss alles sitzen, deswegen wird
jetzt umfangreich geprobt
24.44 und dann schauen wir,
wie es knallt…
24.44 Mindestabstand zu dem ganzen 
Ding – auch von den Fahrzeugen – fünf Meter.
24.44 Normalerweise ist das Ganze nach oben 
gerichtet, aber es kann passieren, 
24.44 dass da irgendwelche losen Teile wegfliegen,
24.44 Steine die rumliegen, das tut einfach weh.
Muss nicht sein.
24.44 Wir haben insgesamt sechs
Kameras heute aufgebaut,
24.44 das hier ist die wichtigste, die A-Kamera,
24.44 dann eine zweite Kamera
steht da hinten,
24.44 eine steht hier oben, eine
befindet sich im Auto,
24.44 und dann haben wir noch zwei weitere,
da sind die Positionen noch nicht ganz festgelegt,
24.44 aber die werden auch tendenziell hier
um das Gelände verteilt sein.
24.44 Let&;s go!
24.44 Es hat auf jeden Fall Spaß gemacht,
also gesehen habe ich eigentlich gar nichts,
24.44 es war geschützt hinter mir, also es ist
nur im hinteren Teil im Auto explodiert
24.44 und da war so eine Schutzfläche zwischen uns.
24.44 Ich hab es gehört, es war sehr laut,
aber eigentlich gar nicht gesehen oder gespürt
24.44 und ich habe nur am Ende gesehen,
wie es auf Videos aussah:
24.44 es war richtig cool und sehr groß.
24.44 Am Ende wurden wir mit der großen Explosion belohnt
24.44 die uns alle wahnsinnig glücklich gemacht hat,
24.44 weil da ein Großteil des Films
dann abgedreht war damit,
24.44 und dafür sind alle noch
mal zusammengekommen.
24.44 Mit Wolfgang im Schnittraum zu sitzen, 
war eine wahre Freude,
24.44 weil hier jemand dazu kam,
24.44 nachdem wir schon fünf Drehblöcke
im Kasten hatten,
24.44 der sich eben den Assembly
vorgenommen hat,
24.44 und das ganze Material
nach anderthalb Jahren
24.44 eben auch mit frischen Augen betrachten konnte.
24.44 Im Schnitt haben wir dann aber auch festgestellt,
24.44 dass die ganzen Sequenzen, die eben
auch schon geboardet waren,
24.44 mit den Flügen und mit der Wüste 
und den Wracks und der versunkenen Stadt, 
24.44 dass die absolut notwendig sind, um
die ganzen Elemente und Szenen,
24.44 die schon gedreht wurden,
miteinander zu verbinden.
24.44 Es war klar: Wir brauchen, um 
diesen Film rund zu machen,
24.44 Aufnahmen in der echten Wüste.
24.44 Und dann hatten wir überlegt
irgendwie Dänemark vielleicht,
24.44 oder Braunkohle-Tagebau, aber nee,
24.44 am Ende wurde es Spanien,
weil das ist die wirkliche Wüste.
24.44 Wir haben Freudensprünge gemacht,
als wir Leute gefunden haben,
24.44 die bereit gewesen sind,
24.44 den Interceptor auf den Anhänger zu packen
24.44 und damit einfach tausende von
Kilometern zurückzulegen,
24.44 um ihn dann dort in der Wüste
für uns abzuladen.
24.44 Mit der Firma, die uns die
Drohnenaufnahmen ermöglichte,
24.44 war plötzlich der Film nochmal
auf ein anderes Level gehoben worden,
24.44 weil es sich plötzlich wie 
Mad Max angefühlt hat,
24.44 als wir diese Strecken zurücklegen konnten
24.44 und wirklich richtiger Wüstenstaub
24.44 von den dicken Autoreifen unseres
Interceptors aufgewirbelt wurde.
24.44 In Spanien wollten wir Fahrszenen drehen
und Luftaufnahmen machen, 
24.44 und da haben wir tatsächlich eine
Drohnenfirma dafür gewinnen können,
24.44 kopterwork, die uns am Ende wirklich
24.44 die 50.000 Euro teure Kamera 
durch die Luft geflogen hat,
24.44 was unglaublich ist, weil diese Aufnahmen,
24.44 die machen den Film wahnsinnig viel reicher.
24.44 Ich fühl mich beobachtet!
24.44 Tiefer, tiefer! Mit der Drohne tiefer!
24.44 Geht es, dass wir noch tiefer und
noch näher dran sind am Ende?
24.44 Der Spanien-Drehblock war noch mal
einiges an Herausforderung,
24.44 auch finanziell, weshalb wir
24.44 glücklicherweise einen 
Koproduzenten gefunden haben,
24.44 den Daniel von Bureau Dada,
24.44 und der hat es uns tatsächlich
möglich gemacht, dass wir
24.44 mit dem gesamten Interceptor
und Kameraequipment
24.44 nach Spanien konnten und 
dort 5 Tage drehen konnten.
24.44 Die Lichtquelle ist verschwunden.
24.44 Wir denken nicht an schlechtes Wetter in Spanien,
24.44 es könnte regnen, aber das sich halt mal
24.44 eine Wolkenfront vor die Sonne schiebt,
24.44 ist eine Tatsache, mit dem wir uns
gerade konfrontiert sehen.
24.44 Da kann auch mein Ko-Produzent nichts machen.
24.44 Aber er tut, was er kann!
24.44 Okay, alles klar. Und, los!
24.44 Die letzten Aufnahmen des Interceptors
haben wir bei Nacht gedreht,
24.44 in einem Sandsturm, mit zwei
Drohnen in der Luft.
24.44 An einer an einer Drohne war
die Kamera gehangen,
24.44 an einer anderen das Mondlicht,
dass wir geleuchtet haben,
24.44 und das war noch mal eine
riesige Herausforderung,
24.44 das alles zu koordinieren:
Wo ist die Kamera?
24.44 Wo ist der Interceptor?
Wo ist der Mond?
24.44 Und dann diese Fahraufnahmen zu erstellen,
das war eine große Herausforderung,
24.44 aber hat wieder wahnsinnig
viel Spaß gemacht
24.44 und so hat wirklich der Interceptor nochmal
24.44 sein fulminantes Ende gefunden
bei diesem Dreh.
24.44 Dein Job heute war einfach nur Rumsitzen,
während ein anderer Auto gefahren ist.
24.44 Ja.
– Du bist eigentlich Fahrlehrer gewesen.
24.44 Ja.
24.44 Das ist mir wichtig.
24.44 Und dann bist du auch noch auf dem Poster.
– Ja.
24.44 Das ich bezahle.
– Ja.
24.44 Der letzte Drehtag in Spanien hatte auch noch 
mal was ganz besonderes zu bieten:
24.44 Und zwar konnten wir Luna Negra
für uns gewinnen,
24.44 eine spanische Mad Max-Fangruppe,
24.44 die aus ganz Spanien für uns
zusammengekommen ist
24.44 und mit uns nochmal ganz tolle
Introszenen gedreht hat.
24.44 Und Action!
24.44 Danke!
24.44 Mit Spanien konnten wir endlich abschließen,
was wir zwei Jahre zuvor begonnen hatten,
24.44 und hatten alle Puzzleteile
zur Verfügung.
24.44 Wir hatten ganz tolle Aufnahmen im Gepäck
24.44 und sind damit in eine Postproduktion 
gestartet, die es auch noch mal in sich hatte.
24.44 Für den Film hatten wir über 100 VFX-Shots,
24.44 weshalb der Postproduktionsprozess 
auch über ein Jahr gedauert hat.
24.44 Als wir noch 25 VFX-Shots übrig hatten,
haben wir Pixone Images kennengelernt,
24.44 die uns dann mit dem Emerging Talent
Award ausgezeichnet haben.
24.44 Das bedeutet, sie haben kostenlos
für uns 25 VFX-Shots bearbeitet
24.44 und haben auch da wieder Wunder vollbracht.
24.44 Sie haben zum Beispiel einen Steinbruch
in eine Berglandschaft gesetzt
24.44 und einen Sonnenaufgang erstellt, aus einem 
Foto, das in der blauen Stunde fotografiert wurde.
24.44 Mit Dimitris Dodoras haben wir
richtig Glück gehabt.
24.44 Auch er wurde vom Mad Max-Fieber infiziert
24.44 und konnte irgendwann nicht mehr 
anders, als den Vorschlag zu bringen:
24.44 Hey Leute, jetzt haben wir schon den
Score hier so in der Demoversion,
24.44 aber wie wäre es, wenn wir Teile davon
mit echtem Orchester aufnehmen?
24.44 Und so haben wir gesagt:
Okay, wir gucken mal
24.44 und nehmen einfach mal eine Session mit
24.44 und nachdem wir diese ersten
zwei Minuten gehört haben,
24.44 haben haben wir gesagt: Oh, wow!
24.44 Das ist ja wirklich ein Unterschied
wie Tag und Nacht!
24.44 Und daraufhin hat er gesagt:
24.44 Okay, wie wär es, wenn wir
nochmal fünf Minuten aufnehmen?
24.44 Und wir haben gesagt: Ja, gut, machen
wir nochmal fünf Minuten.
24.44 Dabei blieb es nicht und am Ende hatten
wir 15 Minuten Orchestermusik
24.44 und mit dem Spirit sind wir dann
am Ende bei unserem Score gelandet,
24.44 der, abgemischt in Dolby Atmos
von Christian Vaida,
24.44 einfach alle Register zieht und hoffentlich
die Leute allein schon für sich, 
24.44 wenn man ihn sich so anhört,
in den Bann zieht.
24.44 Was wäre ein Mad Max-Film ohne
die röhenden Motoren,
24.44 ohne die krachenden Schüsse,
die bebenden Explosionen
24.44 und einfach den ganzen Wahnsinn?
24.44 Mit Saro Sahihi als Sounddesigner und 
Volker Armbruster als Rerecording Mixer
24.44 hatten wir nachher zwei Leute am Start,
24.44 die den ganzen Film in Dolby Atmos
zusammengefügt haben.
24.44 In dem Fall wollen wir nicht nur 
eine Realität schaffen,
24.44 sondern Leute in eine Welt transportieren,
24.44 die es zum Glück so nicht gibt,
nämlich ins Wasteland,
24.44 und ich denke, dass der Dolby Atmos Mix
absolut maßgeblich dafür ist,
24.44 dass das eben möglich ist.
24.44 Dass die Leute sich so transportiert fühlen.
24.44 Und deswegen empfehle ich allen,
unbedingt Kopfhörer zu verwenden
24.44 damit die Arbeit dieses Soundteams
auch wirklich zur Geltung kommt.
24.44 Ich bin mir ziemlich sicher dass es
geholfen hat, dass es Freunde sind,
24.44 die sich entschlossen haben,
einen Film zu drehen,
24.44 der richtig gut geworden ist
24.44 und das alles nur entstanden ist
aufgrund von Freundschaften,
24.44 weil es im Endeffekt eine Art
Riesen-Klassenfahrt war.
24.44 Das Projekt macht eindeutig die Zusammenarbeit 
all der Talente besonders, in jeder Position.
24.44 Es ging nicht darum, dass ein Department 
gegen ein anderes gekämpft hat,
24.44 es ging nicht darum, dass
Ellbogen ausgefahren wurden,
24.44 sondern man hat miteinander gearbeitet.
24.44 Die letzten Meter des Films!
24.44 Also es wild, dass wir da so viel
reininvestiert haben,
24.44 aber es hat sich gelohnt, weil das Produkt,
24.44 finde ich, lässt sich absolut sehen und
24.44 ich würde es auf jeden
Fall wieder so machen.
24.44 Ich meine, es ist ein Traum
24.44 und wir wissen alle, dass Träume auch
nicht wahr werden können,
24.44 aber manche werden einfach wahr.
24.44 Ich habe es letztens zu Erik gesagt:
24.44 Allein die Erfahrung war es mir wert,
das Geld auszugeben.
24.44 Und das fertige Produkt jetzt zu sehen,
den fertigen Film zu sehen
24.44 ist halt natürlich Wahnsinn.
24.44 Ich sag, das war&;s voll wert.
24.44 Würde ich auf jeden Fall nochmal machen.
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